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A natural phenomenon set to intensify
When a sandstorm occurs, large quantities of particles are lifted into the atmosphere. Once at a high altitude, they can travel hundreds or even thousands of kilometres before falling back to the ground. This means that a Saharan sandstorm can cause sand haze to occur in mainland France or the Caribbean, resulting in air pollution that is recognisable by the yellow-orange colour of the sky and visible deposits on the ground.
With climate change, the sand haze season is tending to grow longer while the frequency and intensity of sand haze, including in winter, are increasing.
An increase in levels of airborne particles
Depending on their intensity, episodes of sand haze can cause concentrations of particles in ambient air to increase to varying degrees.
“Based on the available data, even though these are limited, we have demonstrated the effects of sand haze on human health, including an increase in non-accidental deaths as well as visits to hospital emergency units, hospitalisations, and mortality from respiratory or cardiovascular issues. These effects are also observed during episodes of standard particulate pollution” explains Claire Dulong, coordinator of the scientific expert appraisal.
Reducing concentrations of particles when sand haze occurs
Air quality forecasts are available up to five days in advance, allowing sand haze to be predicted. When this happens, ANSES advises the authorities to address local sources of pollution – for example by limiting road traffic or reducing industrial emissions – to reduce the level of particles already present in the air when the phenomenon occurs.
Otherwise, the particles from the sand haze will be added to the anthropogenic pollution in the air, potentially exceeding the air quality thresholds intended to protect human health.
“Sand haze is a natural phenomenon that requires action to be taken where possible, addressing emissions caused by human activities, in order to reduce the total concentration of particles and therefore the population’s exposure to atmospheric pollution, whose health effects are now well established” stresses Dulong.
Varying effects on the environment
By supplying particles composed of organic and inorganic matter, sand haze can have beneficial effects on ecosystems (addition of phosphorus and/or iron to water, for example) or negative ones (contamination by metallic elements, introduction of pathogens, etc.). For example, sand haze is thought to be one of the factors contributing to the proliferation of Sargassum seaweed. Sand haze deposits can also be associated with accelerated snow and ice melt.
However, to date, few data are available on the consequences of sand haze for fauna, flora and the environment. The Agency therefore stresses the importance of carrying out further research to better understand its effects.
Un phénomène naturel amené à s’intensifier
Lorsqu’une tempête de sable se produit, d’importantes quantités de particules sont soulevées dans l’atmosphère. Une fois à haute altitude, elles peuvent parcourir des centaines voire des milliers de kilomètres avant de retomber. De ce fait, une tempête de sable saharienne peut conduire à une brume de sable en France hexagonale ou aux Caraïbes, qui se traduit par une pollution de l’air reconnaissable à la coloration jaune-orangée du ciel et par des dépôts visibles au sol.
Avec le dérèglement climatique, la saison des brumes de sable tend à s’allonger. Leur fréquence et leur intensité, y compris en hiver, augmentent.
Une augmentation des niveaux de particules dans l’air
Selon leur intensité, les épisodes de brumes de sable peuvent entraîner une hausse plus ou moins importante des concentrations en particules dans l’air ambiant.
"Sur la base, même limitée, de données disponibles, nous avons pu mettre en avant des effets sur la santé humaine des brumes de sable : hausse de la mortalité non-accidentelle et augmentation des passages aux urgences, des hospitalisations et de la mortalité pour cause respiratoire ou cardiovasculaire. Ces effets sont également observés lors des épisodes de pollution en particules classiques" précise Claire Dulong, coordinatrice de l’expertise scientifique.
Réduire la concentration en particules lors de la survenue d’une brume de sable
Les prévisions sur la qualité de l’air sont disponibles jusqu’à cinq jours à l’avance, permettant d’anticiper l’arrivée d’une brume de sable. Quand celle-ci est annoncée, l’Anses recommande aux autorités d’agir sur les sources locales de pollution pour réduire les niveaux de particules déjà présents dans l’air au moment de la survenue du phénomène : limitation du trafic routier, réduction des émissions industrielles, etc.
Sans ces actions, les particules issues des brumes de sable s’ajoutent à la pollution anthropique déjà présente et peuvent conduire à un dépassement des seuils de qualité de l’air fixés pour protéger la santé humaine.
"Les brumes de sable sont un phénomène naturel qui nécessite d’agir là où il est possible de le faire, c’est-à-dire sur les émissions dues aux activités humaines, afin de réduire la concentration totale en particules et donc l’exposition de la population à la pollution atmosphérique, dont les effets sur la santé ne sont plus à démontrer" insiste Claire Dulong.
Des impacts variables sur l’environnement
En apportant des particules composées de matières organiques et inorganiques, les brumes de sable peuvent présenter des effets bénéfiques (apport de phosphore et/ou de fer dans les eaux par exemple) ou, au contraire, négatifs (contamination par des éléments métalliques, introduction de pathogènes) sur les écosystèmes. Par exemple, les brumes de sable seraient l’un des facteurs de prolifération des algues sargasses. Les dépôts de brumes de sable peuvent également être associés à une accélération de la fonte de la neige et de la glace.
Toutefois, à ce jour, peu de données sont disponibles sur les conséquences des brumes de sable pour la faune, la flore et l’environnement. L’Agence souligne donc l’importance de poursuivre les recherches pour mieux comprendre leurs impacts.
Since 2017, Marie-Pierre Rivière has been Head of the Bee Diseases Unit at the ANSES Sophia-Antipolis Laboratory. She is also Deputy Head of the European Union Reference Laboratory (EURL) for bee health. She has been particularly involved in projects at European level. For example, she has served as an expert for the European Food Safety Authority (EFSA) and participated in several research projects on bees.
As Director, she now coordinates all the activities of the ANSES Sophia-Antipolis Laboratory.[MA1] Located in the Provence-Alpes-Côte-d’Azur Region since its creation, this laboratory specialises in two areas: bee health and Q fever in ruminants. With around 10 national, European and international mandates, the Sophia-Antipolis Laboratory is recognised for its many years of experience and in-depth expertise in the fields of reference and surveillance.
Marie-Pierre Rivière is succeeding Richard Thiéry, Research Director, who has retired after a career dedicated to animal virology.
Depuis 2017, Marie-Pierre Rivière est cheffe de l’unité “pathologie de l’abeille” au sein du laboratoire de l’Anses à Sophia Antipolis. Elle est également responsable adjointe du laboratoire de référence de l’Union européenne (LRUE) pour la santé de l’abeille. Elle s’est particulièrement investie dans des projets au niveau européen. Elle a exercé des fonctions d’expertise pour l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et participé à plusieurs projets de recherche sur les abeilles.
En tant que directrice, elle coordonne désormais l’ensemble des activités du laboratoire de Sophia Antipolis de l’Anses. Ce laboratoire, implanté en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur depuis sa création, est spécialisé dans deux domaines : la santé des abeilles et la fièvre Q chez les ruminants. Fort d’une dizaine de mandats nationaux, européens et internationaux, le laboratoire de Sophia Antipolis est reconnu pour sa longue expérience en référence et en surveillance, ainsi que pour son expertise approfondie de ces sujets.
Marie-Pierre Rivière succède à Richard Thiéry, directeur de recherche, qui a fait valoir ses droits à la retraite après une carrière dédiée à la virologie animale.
Real health benefits
The health effects of sitting for long periods are now well documented. Prolonged sitting increases the risk of developing chronic conditions such as type 2 diabetes, obesity, cardiovascular disease, certain respiratory, bone and joint disorders, and even some types of cancer.
In its 2022 expert appraisal, the Agency highlighted a worrying trend in France: a large share of the population – especially young people – does not get enough exercise or spends too much time sitting.
More than 37% of adults sit for more than eight hours a day.
To take account of the latest scientific knowledge, the Agency has carried out a new expert appraisal to update its recommendations on reducing sedentary living, published in 2016 in its first opinion on physical activity and sedentarity.
Proven metabolic and cognitive effects
ANSES conducted a systematic review of studies examining the health benefits of various ways of breaking up sedentary time, such as standing, walking or climbing stairs.
The results showed that walking for five minutes every 30 minutes at a low to moderate intensity improves metabolic markers such as blood sugar and insulin levels. For children, the data suggest that short bursts of more intense activity for three minutes every 30 minutes may provide even greater benefits.
Breaking up sitting time also appears to have a positive effect on cognitive function. The studies show that walking, regardless of speed, improves attention, reaction time and mood, while reducing feelings of fatigue.
“These benefits are observed when sitting is interrupted regularly, ideally every 30 minutes” explains Perrine Nadaud, Deputy Head of the Unit in charge of issues involving physical activity.
Making our lifestyles more active
ANSES recommends encouraging regular breaks from sitting in all settings (at work, at school, etc.) by creating varied opportunities to move throughout the day. Minor everyday changes can make a difference: taking the stairs instead of the lift, or talking while walking rather than remaining static, for example. It also points out that the most significant benefits are achieved when breaks are taken every 30 minutes or so, and that these effects diminish when sitting periods extend beyond that – particularly for more than one hour.
In addition, the Agency reiterates the importance of being physically active every day, for example by walking or cycling to get around, taking the stairs, or being active at home (through chores, gardening or DIY activities). Beyond that, exercising can provide a fun and effective way to stay healthy.
“Today, public health prevention is all about reorganising our lifestyles. For several years, the Agency has been advocating for the creation of environments that are conducive to active living, which requires rethinking the ways we structure time and space, whether at school or at work” affirms Irène Margaritis, Deputy Director for Food, Animal and Plant Health.
Covered verandas (also known as winter gardens) are semi-open spaces adjacent to livestock buildings that allow poultry to enjoy outdoor air and natural light while being protected from predators and pathogens transmitted by wildlife. These facilities, which have already been adopted by some farmers, are attracting growing interest due to their potential to improve animal welfare. For the first time, a study conducted by ANSES under experimental conditions has scientifically evaluated their effects. The results, published in the journal Poultry Science, show that covered verandas can have significant beneficial effects on the health and welfare of broiler chickens.
An experimental design to compare farming conditions
The study was carried out by the Epidemiology, Health and Welfare Unit (EPISABE) of ANSES’s Ploufragan-Plouzané-Niort Laboratory, in collaboration with the Department for Breeding and Experimentation in Poultry and Rabbits. All the animals were housed in ‘enriched’ indoor rooms, i.e. rooms exposed to natural light and equipped with elevated platforms and bales of alfalfa. Each room contained 2478 chickens per 162 m². Half of the groups also had access to a 72 m² covered veranda.
“This protocol enabled us to compare groups of chickens subject to identical conditions, except that some had access to the covered veranda while others did not”, explains Frédérique Mocz, research project leader focusing on animal welfare at ANSES’s Ploufragan-Plouzané-Niort Laboratory and lead author of the study.
More active chickens less prone to skin problems
Observation showed that the chickens with access to a covered veranda were significantly more active: they walked and ran more and spent less time lying down.
This increased activity had a direct impact in the form of a marked reduction in hock burns, which are skin problems that can occur when an animal remains immobile for too long in contact with litter. No significant cases were observed in the chickens with access to a covered veranda, while the rate of moderate cases in the control group was 15.3%.
On the other hand, no differences were observed in body weight, feed or water consumption or mortality.
An effect beyond the increase in available space
While covered verandas increase the space available to animals, the study’s researchers believe that the positive effects cannot be explained solely by the lower animal density. “The density in the indoor rooms was already relatively low compared to traditional farms. Technically, we refer to ‘stocking density’, which is the mass of chickens per square metre. In our rooms, this was 26 kg/m², whereas on conventional farms it can be as high as 42 kg/m²” affirms Mocz. “We think that the effects observed were related to access to a semi-open environment, which provided the animals with additional sensory stimulation”.
Among the favourable factors identified, exposure to outdoor air, variations in temperature, sunlight and litter type, and even odours, contributed to enriching the animals’ environment. Observation also showed that the chickens tended to use the covered verandas more in the late morning, when these spaces were exposed to the sun.
A step forward for animal welfare
The researchers underline that allowing animals to choose whether or not to access the covered veranda could also positively impact their welfare, although this hypothesis remains to be confirmed. “Building a covered veranda is a significant investment for farmers, but our study demonstrates that such verandas have benefits for the welfare of chickens, allowing them to express natural behaviours more often and preserving their health without reducing productivity. These results will need to be confirmed in non-experimental conditions” concludes Mocz.
Les jardins d’hiver sont des espaces semi-ouverts, attenants aux bâtiments d’élevage, qui permettent aux volailles de bénéficier de l’air extérieur et de la lumière naturelle tout en étant protégées des prédateurs et des agents pathogènes transmis par la faune sauvage. Ces aménagements, déjà adoptés par certains éleveurs, suscitent un intérêt croissant pour leur potentiel à améliorer le bien-être des animaux. Pour la première fois, une étude conduite par l’Anses en conditions expérimentales a évalué scientifiquement leurs effets. Les résultats, publiés dans la revue Poultry Science, montrent que les jardins d’hivers peuvent avoir des bénéfices notables sur la santé et le bien-être des poulets de chair.
Un dispositif expérimental pour comparer les conditions d’élevage
L’étude a été menée par l’unité Épidémiologie, santé et bien-être (EPISABE) du laboratoire de Ploufragan-Plouzané-Niort de l’Anses, en collaboration avec le service expérimental d’élevage et d’expérimentation avicole et cunicole. Tous les animaux étaient hébergés dans des enclos intérieurs « enrichis », c’est-à-dire exposés à la lumière naturelle et disposant de plateformes surélevées et de ballots de luzerne. La densité était de 2 478 poulets pour 162 m². La moitié des lots avait également accès à un jardin d’hiver de 72 m².
« Ce protocole nous a permis de comparer des groupes de poulets dans des conditions identiques, à l’exception de l’accès ou non au jardin d’hiver », explique Frédérique Mocz, chargée de projets de recherche sur le bien-être animal au laboratoire de Ploufragan-Plouzané-Niort de l’Anses et principale autrice de l’étude.
Des poulets plus actifs et moins sujets aux problèmes cutanés
Les observations montrent que les poulets ayant accès aux jardins d’hiver étaient significativement plus actifs : ils marchaient et couraient davantage, et passaient moins de temps couchés.
Cette activité accrue a une conséquence directe par la réduction marquée des brûlures du tarse, un problème cutané pouvant apparaître lorsqu’un animal reste immobile trop longtemps en contact avec la litière. Ainsi, aucun cas significatif n’a été observé chez les poulets ayant accès à un jardin d’hiver, contre 15,3 % de cas modérés dans le groupe témoin.
En revanche, aucune différence n’a été observée concernant le poids, la consommation d’aliments ou d’eau, ou la mortalité.
Un effet au-delà de l’augmentation de surface disponible
Si les jardins d’hiver permettent d’augmenter la surface disponible pour les animaux, les chercheurs estiment que les effets positifs ne s’expliquent pas uniquement par la densité en animaux plus faible. « La densité dans les enclos intérieurs était déjà relativement faible comparée aux élevages traditionnels. Techniquement, on parle du « chargement », qui mesure la masse de poulets par mètre carré. Celui dans nos enclos était de 26 kg/m², alors que les élevages conventionnels peuvent aller jusqu’à 42 kg/m², précise Frédérique Mocz. Nous pensons que les effets observés sont liés à l’accès à un environnement semi-ouvert, qui offre aux animaux des stimulations sensorielles supplémentaires. »
Parmi les facteurs favorables identifiés, l’exposition à l’air extérieur, aux variations de température, de luminosité et de type de litière, ou encore aux odeurs contribue à enrichir l’environnement des animaux. Les observations ont d’ailleurs montré que les poulets utilisaient davantage les jardins d’hiver en fin de matinée, période où ces espaces étaient exposés au soleil.
Une avancée pour le bien-être animal
Les chercheurs soulignent que la possibilité pour les animaux de choisir d’accéder ou non au jardin d’hiver pourrait également être un facteur de bien-être, même si cette hypothèse reste à confirmer. « La construction d’un jardin d’hiver représente un investissement important pour les éleveurs, mais notre étude démontre leur bénéfice pour le bien-être des poulets, en leur permettant d’exprimer davantage de comportements naturels et en préservant leur santé, sans diminuer la productivité. Ces résultats sont à confirmer en dehors des conditions expérimentales. », conclut Frédérique Mocz.
De réels bénéfices pour la santé
Les effets sanitaires des temps prolongés de sédentarité sont désormais bien documentés. Ils augmentent le risque de développer certaines maladies chroniques telles que le diabète de type 2, l’obésité, les maladies cardiovasculaires, certaines pathologies respiratoires ou ostéoarticulaires, ainsi que certains cancers.
Dans son expertise de 2022, l’Agence avait mis en évidence la situation préoccupante en France : une grande partie de la population, en particulier les jeunes, est à la fois insuffisamment active et trop sédentaire.
Plus de 37 % des adultes passent plus de 8 heures par jour en position assise.
Afin de tenir compte des dernières connaissances scientifiques, l’Agence a mené une nouvelle expertise pour actualiser les recommandations sur la rupture de sédentarité émises de son premier avis sur l’activité physique et la sédentarité, publié en 2016.
Des effets métaboliques et cognitifs démontrés
L’Anses a réalisé une revue systématique des études portant sur les bénéfices pour la santé de différentes activités de rupture de sédentarité comme se lever, marcher, monter des escaliers, etc.
Les résultats montrent que marcher 5 minutes toutes les 30 minutes à intensité faible à modérée, améliore les paramètres métaboliques, comme la glycémie ou l’insulinémie. Pour les enfants, les données suggèrent que rompre la sédentarité par une activité plus intense pendant 3 minutes toutes les 30 minutes serait encore plus bénéfique.
Interrompre la position assise aurait aussi un effet positif sur les fonctions cognitives. Quelle que soit la vitesse de marche, les études montrent une amélioration de l’attention, du temps de réaction, de l’humeur et une diminution de la sensation de fatigue.
« Ces effets bénéfiques sont observés lorsque la position assise est rompue régulièrement et dans l’idéal toutes les 30 minutes », explique Perrine Nadaud, adjointe au chef de l’unité en charge des questions liées à l’activité physique.
Rendre nos modes de vies plus actifs
L’Anses recommande de favoriser la mise en place de ruptures régulières de sédentarité dans tous les environnements (professionnel, éducatif, etc.) en variant les opportunités afin de favoriser l’adhésion à ces pratiques et leur intégration dans les habitudes quotidiennes : préférer les escaliers à l’ascenseur, discuter en marchant plutôt qu’en restant statique…etc. Elle associe cette recommandation au rappel que les meilleurs effets sont obtenus autour de 30 minutes et s’atténuent au-delà, en particulier si on dépasse 1 heure.
En complément, l’Agence rappelle l’importance d’avoir une vie physiquement active au quotidien : se déplacer à pied ou à vélo, prendre les escaliers, être actif à son domicile (ménage, jardinage, bricolage), etc. Au-delà, la pratique sportive permet d’agir de façon plus ludique pour sa santé.
« Aujourd’hui, la prévention en santé publique passe par une nouvelle organisation de nos modes de vie. L’Agence plaide depuis plusieurs années pour la création d’environnements favorables à un mode de vie actif, que ce soit par l’organisation du temps ou de l’espace, à l’école ou au travail. » Irène Margaritis, adjointe au directeur de l’alimentation, de la santé animale et végétale.