Un chat infecté par le virus de l’influenza aviaire
Antiparasitaire Chat
24/01/2023

Un chat infecté par le virus de l’influenza aviaire

Fin décembre, un chat malade a été testé positif au virus influenza aviaire hautement pathogène H5N1 dans les Deux-Sèvres. L’Anses s’est activement impliquée dans l’investigation de ce cas, ce qui a permis d’identifier l’élevage de canards voisin comme étant à l’origine de la contamination du chat. La multiplication de ces transferts viraux des oiseaux vers les mammifères dans les différents pays appelle à la vigilance, car cela pourrait faciliter un éventuel passage à l’être humain.
Créosote : ne pas réutiliser les traverses de chemin de fer traitées
Ne pas réutiliser les traverses de chemin de fer créosotés
23/01/2023

Créosote : ne pas réutiliser les traverses de chemin de fer traitées

Il faut limiter au maximum l’exposition à la créosote, une substance très toxique pour la santé. En France, la créosote est utilisée uniquement pour traiter les traverses de chemin de fer dans des conditions très encadrées. Il est donc important de ne pas les récupérer pour en faire des clôtures ou du bois de chauffage par exemple. Pour harmoniser au niveau européen l’interdiction de réutilisation des bois traités à la créosote en France, l’Anses a déposé une proposition de restriction auprès de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA).
Renforcer la surveillance des OGM dans l’environnement
Chargement zone portuaire
20/01/2023

Renforcer la surveillance des OGM dans l’environnement

Suite à l’identification de plants de colza génétiquement modifié à proximité de Rouen, l’Agence a été chargée d’évaluer l’efficacité des mesures appliquées pour les éradiquer et, de manière plus générale pour éviter la dissémination accidentelle d’OGM dans l’environnement. Elle recommande de renforcer les plans de surveillance, et notamment de cartographier les zones les plus à risques de dissémination sur le territoire français.
Santé au travail : l’Anses renouvelle sa collaboration avec le NIOSH
05/01/2023

Santé au travail : l’Anses renouvelle sa collaboration avec le NIOSH

L’Anses et le NIOSH (National Institute for Occupational Safety & Health) aux États-Unis, ont signé, ce début d'année, un nouveau protocole d’accord dans le domaine de la santé au travail, après une première collaboration de dix ans.
Influenza aviaire : la vaccination des poules n’est pas envisageable cet hiver
Influenza Aviaire
16/12/2022

Influenza aviaire : la vaccination des poules n’est pas envisageable cet hiver

Les conditions ne sont pas réunies à l’heure actuelle pour vacciner efficacement les poules, poulets et dindes contre l’influenza aviaire. Afin d’envisager cette stratégie pour les prochaines années, il faudra augmenter la production de vaccins existants, développer des vaccins pour toutes les espèces de volailles, y compris les canards, et autoriser ces vaccins en France ou en Europe.
Nanomatériaux dans l’alimentation : première application de la méthodologie d'évaluation des risques de l’Anses
nanomatériaux
14/12/2022

Nanomatériaux dans l’alimentation : première application de la méthodologie d'évaluation des risques de l’Anses

Les méthodologies conventionnelles ne sont pas toujours pertinentes pour évaluer les risques potentiels pour la santé des consommateurs des nanomatériaux utilisés dans l’alimentation. L’Anses a donc proposé en 2021 une méthodologie d’évaluation des risques dite « nanospécifique », qu’elle vient de tester sur l’additif alimentaire E171, ou dioxyde de titane (TiO2), qui est le nanomatériau le plus étudié. Son usage dans l’alimentation est interdit en Europe depuis aout 2022. Cette application concrète de la méthodologie montre à la fois son bien-fondé et l’ampleur des données manquantes pour mener à bien une évaluation des risques adaptée aux nanomatériaux dans l’alimentation.
Graisses, gélatines et collagènes de ruminants : des précautions nécessaires pour les inclure dans l’alimentation des animaux d’élevage
Vaches dans un pré
01/12/2022

Graisses, gélatines et collagènes de ruminants : des précautions nécessaires pour les inclure dans l’alimentation des animaux d’élevage

La forte diminution en Europe des cas d'encéphalopathie spongiforme transmissible (EST) a conduit à alléger les contraintes d’utilisation des produits d'origine animale pour l'alimentation d'espèces productrices de denrées alimentaires. Dans l'expertise qu'elle vient de publier, l'Anses conclut que les graisses, gélatines et collagènes de ruminants ne devraient être utilisés que sous certaines conditions, afin de garantir l’absence de tout risque de transmission d’EST.
CheniPRO: une étude pour évaluer l’exposition des professionnels aux chenilles à poils urticants
chenilles
01/12/2022

CheniPRO: une étude pour évaluer l’exposition des professionnels aux chenilles à poils urticants

Quelles sont les conséquences des chenilles à poils urticants pour la santé des professionnels des espaces verts et des bois et forêts ? Quelles sont les professions et les régions les plus exposées ? Pour répondre à ces questions, l'Anses lance en partenariat avec la Mutualité sociale agricole (MSA), une étude nationale intitulée CheniPRO.
Proscrire les matières plastiques du compost domestique
Proscrire les matières plastiques du compost domestique
28/11/2022

Proscrire les matières plastiques du compost domestique

Plus d'un Français sur trois recycle ses déchets dans des composteurs domestiques ou collectifs. En plus d'y mettre les épluchures de légumes, certains y ajoutent des déchets plastiques et notamment des sacs plastiques à usage unique dits « biodégradables » ou « compostables ». Or, la dégradation totale de tels matériaux n'est pas garantie dans ces composteurs. L'emploi des composts peut alors présenter un risque pour l'être humain comme pour l'environnement. L'Anses recommande donc de ne mettre aucune matière plastique dans les composteurs domestiques.
Produits biocides : proposition de critères pour la restriction de leur vente en libre-service
Biocides
16/11/2022

Produits biocides : proposition de critères pour la restriction de leur vente en libre-service

Insecticides, gels hydroalcooliques, appâts anti-rongeurs, désinfectants de surface, ces produits, appelés biocides, font partie de notre quotidien. Afin de réduire leur impact sur la santé humaine, animale et sur l'environnement, la loi dite EGALIM prévoit notamment l'interdiction de la vente en libre-service de certains produits aux particuliers. Dans ce contexte, l'Anses a été chargée de définir des critères afin de déterminer quelles catégories de produits biocides mériteraient une attention particulière et un accès limité. Ces produits resteraient toutefois accessibles à l'achat sous les conditions qui seront définies par les autorités.

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